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Orion G-801 et G-802
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© 2006

 

PARTICULARITES DE LA FORMULE A HELICE PROPULSIVE ET MOTEUR CENTRAL:

Meilleur rendement de l'hélice : bien alimentée et souffle entièrement dégagé. D'autre part, cette position fait              que l'hélice est stabilisante (gyroscope) et com­plète l'action des plans fixes arrière.

Traînée réduite du fuselage : forme aérodynamique pure ; la traînée de "surface mouillée" (surface en contact avec l'air) est moindre car, à la vitesse normale de l'avion, ne s'ajoute pas le souffle hélicoïdal de l'hélice qui, de plus, perturbe l'écoulement normal sur le fuselage dans le cas de l'hé­lice tractive.

Bruit réduit : pour les mêmes raisons, on aura un bruit d'écoulement de l'air plus faible. D'autre part, le moteur placé à l'arrière est plus facile à insonoriser et moins bruyant pour les occupants de l'appareil.

Très bonne visibilité : aile en arrière de la cabine, et avant du fusela­ge plongeant et dégagé, de plus les sièges arrières sont sur élevés par rapport à ceux de devant.

 

Photo Geoff Jones

Emplacement judicieux du moteur : cet emplacement permet d'adapter très facilement n'importe quel type de moteur, sans modification importante et sur­tout sans variation sensible de centrage.

Efforts groupés au centre de la cellule : aussi bien pour la transmission du couple que pour la fixation de l'aile, du moteur, du train principal...

Economie de carburant : faible consommation au kilomètre parcouru, due au rendement de l'hélice et à l'aérodynamique pure du fuselage.

Esthétique : ligne "jet".

La disposition de l'hélice et du moteur amène   quelques remarques en ce qui concerne le pilotage :

- il y a très peu d'effet de couple à contrer au palonnier lors des varia­tions de puissance (moteur central) facilitant grandement le pilotage, notam­ment lors des décollages et des remises de gaz,

- les gouvernes n'étant pas soufflées, le pilotage est plus sain (pas d'effets secondaires dûs à la perturbation de l'écoulement à cause du souffle hélicoïdal).

Les vitesses de décollage et d'approche se trouvent par contre légèrement augmentées. Cependant, il n'y a plus de risque de décoller au "second régime".

- la garde au sol de l'hélice est suffisante pour un atterrissage dans des conditions normales : avant que l'hélice ne puisse toucher le sol, l'aile décroche ou le train principal touche en premier. La seule précaution à prendre serait de veiller à ne pas trop cabrer dans le cas d'un centrage arrière ( un pilote léger seul et réservoirs presque vides ) et ceci sur un mauvais terrain comportant des bosses.

D'une manière générale, la configuration de l'ORION permet un pilotage très aisé, facilité en outre par un train tricycle à large voie.

 

                                                

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